Ville de pierres blanches
Grisées par les ardoises
Enluminées de fer
Aux lustres irisés
Chemins faits de pavés
Descendant jusqu’au quai
Porte ouverte, rue du change
Supportant le passé
Dominant la cité
Fleurs aux balcons coquets
Mauves, lissées de vert à soi
Là, où j’expose mes pensées
Je regarde la Loire
Auprès du pont arqué
Par le poids des années
Alors, j’attends l’espoir
En m’inspirant de toi